FAUX (1)

La dernière tribune de l’opposition NUPES est un nouveau tissu d’approximations et de mensonges qui ne peuvent rester sous silence. Non, Monsieur le Maire n’a pas « décidé tout seul, sans l’aval du Conseil municipal de placer l’excédent de la commune (…) sur un compte en banque rémunéré ». Monsieur le Maire a agi dans le cadre de la délégation qui lui a été confiée par le Conseil Municipal, via une délibération votée… à l’unanimité, au début du mandat. En outre, il ne s’agit pas d’un placement « sur un compte en banque rémunéré », mais sur un compte à terme ouvert auprès du Trésor Public. Enfin, ce placement engendrera une recette communale de 540 000 euros, à comparer aux 650 000 euros de dépenses nouvelles suggérées par l’opposition NUPES. Culture de la recette d’un côté, culte de la dépense de l’autre.

FAUX (2)

Non, les instances participatives ne sont pas « opaques ». À titre d’exemple, les comptes-rendus des réunions du Conseil Communal Consultatif sont systématiquement partagés avec l’ensemble du Conseil Municipal. Non, le groupe d’opposition NUPES ne s’est pas vu refuser de participer au comité d’éthique sur la vidéoprotection. Il dispose d’un siège au sein de cette instance. Par ailleurs, l’analyse des projets présentés par les habitants dans le cadre du budget participatif ne relève pas d’un « comité de sélection » mais est conduite en toute objectivité par les seuls services municipaux. Chacun constatera au passage le regard condescendant porté par l’opposition NUPES sur les projets qui sont plébiscités par les habitants et sur l’implication concrète de ces derniers dans les chantiers citoyens. Un regard condescendant qui ressemble fort à un mépris de classe.

COQUILLE (1)

Au Conseil Municipal d’octobre, le groupe d’opposition NUPES a de nouveau exprimé sa frénésie dépensière en suggérant que la Ville achète des biens immobiliers « dans des quartiers comme la Nouvelle Madeleine, Saint-Charles ou Buisson ». On rappellera simplement à l’opposition NUPES qu’il n’y a pas de quartier « Buisson » à La Madeleine, celui-ci étant situé sur Lille et Marcq en Baroeul. Vite, une boussole !

COQUILLE (2)

Autour de nous, quelques communes ont décidé de supprimer la distribution des coquilles de Noël dans les écoles. Chez nous, cette distribution a bien eu lieu, comme chaque année, auprès de l’ensemble des enfants des écoles publiques comme privées. Nous revendiquons d’être attachés à cette tradition populaire au bénéfice des familles, mais aussi du commerce local puisque les coquilles sont fabriquées par une boulangerie madeleinoise.

CONFIRMATION

Lors du Conseil Municipal du 20 décembre, l’opposition NUPES a confirmé qu’elle plaçait certaines associations sur une liste noire. Lors du vote des subventions aux associations, les élus NUPES ont en effet à nouveau refusé de soutenir financièrement le Centre de Culture et d’Animation et le Centre social Christian Janssens. Voilà bien la marque d’un mépris réitéré pour celles et ceux qui s’investissent au sein de ces structures, comme pour leurs bénéficiaires et adhérents.

LABEL (1)

Pour la 22^ème année consécutive, La Madeleine a été récompensée par l’attribution de 3 fleurs au concours régional des villes et villages fleuris. Pour rappel, ce label vient reconnaître l’investissement municipal en matière de fleurissement, de propreté et de développement durable.

LABEL (2)

La Madeleine a récemment obtenu le label « Ville Prudente », décerné par la Prévention routière. 3 cœurs récompensent ainsi la Ville pour son engagement dans la promotion des modes de déplacements doux et les aménagements réalisés pour un meilleur partage de l’espace public entre ses différents usagers.

Bonne année 2024 à notre commune et à tous ses habitants !

« La Madeleine que nous aimons »
Groupe des élus de la Majorité Municipale

Les travaux d’élargissement du Boulevard Robert Schuman entre Lille et la Madeleine ont commencé depuis trois mois environ avec notamment la destruction des arbres de la zone naturelle. Cet axe contient déjà 3 voies de chaque côté de l’espace boisé, n’aurait-il pas été possible d’en réserver une aux transports en commun, en réduisant ainsi le trafic, plutôt que d’élargir encore cette autoroute urbaine ?

ON MARCHE SUR LA TÊTE

Le boulevard Schuman se trouve en plein milieu du projet « Grand Euralille » dont l’un des objectifs majeurs est la création d’un « arc vert reliant Euralille à la Deûle ». Une concertation citoyenne a été lancée, fin 2023, pour nous demander ce que nous souhaiterions pour ce nouveau parc alors même que les bulldozers venaient d’arracher les arbres existants et que l’on bitumait le sol pour encore agrandir l’autoroute. Donc on détruit des arbres adultes pour bitumer pour ensuite débitumer et replanter des nouveaux arbres ? On marche sur la tête !

ECOLOGIE OUI… MAIS NON

Monsieur le Maire fait partie des décideurs du « Grand Euralille », et pendant qu’il nous vend un projet de verdissement, il fait abattre des arbres… L’écologie oui, mais pas tout de suite, dans 30 ans peut être ! Quelle crédibilité peut-on encore lui accorder quand il parle d’arcologie ou de ferme urbaine ? On peut craindre le pire…

PLANTER DES ARBRES, C’EST BIEN, LES PRESERVER C’EST MIEUX

La plantation d’arbres devient une excuse facile permettant aux acteurs publics de ne pas repenser leurs projets d’urbanisation. Sacrifier des arbres adultes, vieux de dizaines d’années et replanter des jeunes arbres, le résultat est largement négatif. A l’heure du bilan de la majorité, il ne s’agira pas seulement de compter le nombre d’arbres plantés mais bien de parler également de la forte bétonisation, de l’abattage de nombreux arbres adultes et d‘une végétalisation en pot qui ne présente aucune utilité pour la lutte contre la pollution car il n’y a pas suffisamment de profondeur pour absorber le C02. A l’heure du bilan, il s’agira de parler d’une écologie réelle plutôt que d’une écologie de surface.

Pour nous suivre : www.agir-avenir.org

« Agir pour l'avenir »

Meilleures vœux à tous avec le souhait de voir une réelle volonté de faire éclore des projets ambitieux au service de toutes les générations madeleinoises confondues.

Bruno Pietrini